Pour toi, à prendre au pied de la lettre.
Je prends ces quelques lettres,
Pour t’écrire des doux mots,
Et t’offrir cette lettre,
Pour ôter tous tes maux.
Je la mets dans l’enveloppe,
Moi, le petit timbré,
Par un coup de baguette, hé hop,
Pas même oblitéré.
Hé, c’est la qu’on sonne,
C’est une nouvelle phase,
Le facteur te la donne,
Tu vas lire mes phrases.
J’imagine, je la vois, elle,
Par moi, son p’tit gars virtuel,
Se délectant de mes voyelles,
Peut-être, les apprécie-t-elle !
J’ai cassé ton accent grave,
Pour mon accent aigu,
Et encore, je relave,
Qui vénère ta vertu.
J’enlève le circonflexe,
Ainsi que ce drôle, le tréma,
De ce sire si complexe,
Que je trouve plutôt bas.
J’enlace avec des virgules,
Idiots sont ces deux points,
Pour que mes mots circulent,
Toujours en contre point.
Parfois à court d’argument,
Et si parfois je trime,
Jamais ne nargue, jamais ne ment,
C’est pour trouver la rime.
Et si d’un petit trait,
C’est encore pour rayer,
Je dessine un tiret,
Tous tes termes enrayés.
Je le trouve con ce texte d’amour,
Mais, pour elle, j’ai fait ce poème,
Dans ce maigre contexte d’humour,
Et j’ai du pot, elle aime.
Je prends ces quelques lettres,
Pour t’écrire des doux mots,
Et t’offrir cette lettre,
Pour ôter tous tes maux.
Je la mets dans l’enveloppe,
Moi, le petit timbré,
Par un coup de baguette, hé hop,
Pas même oblitéré.
Hé, c’est la qu’on sonne,
C’est une nouvelle phase,
Le facteur te la donne,
Tu vas lire mes phrases.
J’imagine, je la vois, elle,
Par moi, son p’tit gars virtuel,
Se délectant de mes voyelles,
Peut-être, les apprécie-t-elle !
J’ai cassé ton accent grave,
Pour mon accent aigu,
Et encore, je relave,
Qui vénère ta vertu.
J’enlève le circonflexe,
Ainsi que ce drôle, le tréma,
De ce sire si complexe,
Que je trouve plutôt bas.
J’enlace avec des virgules,
Idiots sont ces deux points,
Pour que mes mots circulent,
Toujours en contre point.
Parfois à court d’argument,
Et si parfois je trime,
Jamais ne nargue, jamais ne ment,
C’est pour trouver la rime.
Et si d’un petit trait,
C’est encore pour rayer,
Je dessine un tiret,
Tous tes termes enrayés.
Je le trouve con ce texte d’amour,
Mais, pour elle, j’ai fait ce poème,
Dans ce maigre contexte d’humour,
Et j’ai du pot, elle aime.